A priori l'étape ne comporte pas de difficulté particulière. Mis à part le fait que j'ai dû me retrouver sur le trottoir de Marseille à 7h. du matin, Carole mon hôte, ayant réservé son billet pour aller honorer sa maman à Nice à l'occasion de la fête des mères.
En fait, au vu du soleil, c'était plutôt ce qui pouvait se faire de mieux, même si les 5 heures de sommeil que j'avais derrière moi étaient un peu juste pour compenser l'étape épuisante de la veille.
Je me suis un peu perdu dans Marseille avant de demander à un cycliste la route de Cassis. Bonne pioche, à Marseille, tous les cyclistes connaissent la route de Cassis . Une bonne montée sur le parcours : le col de la Gineste. J'ai eu d'autant plus de mal à le franchir, que je pensais qu'il culminait à 200 m. et des poussières alors qu'il est quand même répertorié à 327 m. (pente moyenne de 4,4 %, avec un passage à 12%). Sur ses hauteurs, il offre la promesse d'une belle descente avec vue sur les Calanques.
Je n'ai cependant pas pris de photo en dehors de celle du haut du col. Ça allait trop vite, et ça faisait tellement de bien. Vous m'excuserez.
Un nouveau col ... et puis tilt : est-ce que le nom de ce col a à voir avec celui de la portella della Ginestra ? |
La Piana degli Albanesi, La commune où la mafia commit l'effroyable attentat sous la direction de Salvatore Giuliano |
Ida à la barre |
Ici, je décidai de faire une pause dans mon périple et d'aller chercher réconfort auprès de mes amis. Le prochain post sera consacré à Ida.
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